.. Au combat de Croce Bianca, j'ai vu un pauvre caporal qui avait le bras emporté par un boulet; le sang sortait à gros bouillons de sa blessure, sans qu'aucune personne de l'art fût là pour lui administrer les soins que réclamait son état... Plusieurs officiers donnèerent leur mouchoirs pour en faire des compresses... Des blesseés m'ont dit, qu'ils avaient cruellement souffert dans les voitures de l'ambulance; en effet ces véhicules sont suspendus sur de si mauvais ressort, que les cahotements non seulement sont douloureux, mais provoquent souvent l'hémorrhagie". (Ferrero, p. 44, 46).
      (30) [E. Bava, op. cit., p. 49]
      (31) [E. Bava, op. cit., p. 53]
      (32) [E. Bava, op. cit., p. 54]
      (33) [E. Bava, op. cit., p. 78]
      (34) [E. Bava, op. cit., p. 101]
      (35) [E. Bava, op. cit., p. 36]
      (36) " Les Tyroliens visent spécialment sur les officiers; plusieurs ont quitté leur èpaulette , afin de ne pas servir de point de mire". ( Ferrero , p. 31).
      (37) [E. Bava, op. cit., p. 29,30]
      (38) [E. Bava, op. cit., p. 73]
      (39) [E. Bava, op. cit., p. 29]
      (40) [E. Bava, op. cit., p. 13]
      (41) [E. Bava, op. cit., p. 14]
      (42) [E. Bava, op. cit., p. 9]
      (43) [E. Bava, op. cit., p. 10]
      (44) [E. Bava, op. cit., p. 11]
      (45) [E. Bava, op. cit., p. 79]
      (46) [E. Bava, op. cit., p. 78]
      (47) [E. Bava, op. cit., p. 83]
      (48) [E. Bava, op. cit., p. 88]
      (49) "Dietro a concerti, presi a Montechiaro il giorno 6 aprile, risultava, doversi tutti i corpi di volontarii spingere nel Tirolo.
      Ci era data certezza che il generale Allemandi avrebbe in persona ispezionato la truppa in Salò, che noi saremmo stati provisti di munizioni, d'abiti, di denaro.