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      L'Autore ripiglia: "Enfin les peuples, en se refusant à la circulation de leurs produits identiques, me semblent avoir rempli parfaitement les intentions de la nature, et s'être conformés strictement à ses lois bienfaisantes. La circulation des produits identiques ne peut s'établir et se maintenir que par la concurrence, qui excite parmi les concurrens l'envie, la haine, et toutes les passions anti-sociales". Il Manzoni è pronto a ribattere: "Oh prodige d'irréflexion! Il ne s'est pas souvenu que la concurrence est tout naturellement établie entre les fabricants et les débitants de produits identiques dans un même pays. Pour la prévenir, il faudrait qu'il n'y eût, par exemple, qu'un seul cordonnier en France."
      Alla pag. 221, il Ganilh scriveva; "On chercherait inutilement, par la pensée, un seul cas où un individu quelconque pût être offensé ou affligé de voir, dans le marché de sa localité, des produits différens de ceux de son sol et de son industrie." Il Manzoni, che ama la precisione, scrive in margine, con la solita arguzia: "Il n'a pas observé qu'il y a des produits de nature différente, et qui servent aux mêmes usages. Ainsi un individu quelconque qui fabriquerait des étoffes de laine ou de fil, pourrait être fort bien offensé ou affligé de voir apparaître pour la première fois sur son marché des étoffes de soie; un fruitier de voir pour la première fois arriver des oranges, etc."
      A pag. 222, l'Autore dice d'un'imposta che è a danno dei produttori e dei consumatori, ma torna a beneficio dello Stato: il Manzoni annota maliziosamente: "Il faut donc entendre un État duquel sont exclus les consommateurs et les producteurs.


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Alessandro Manzoni
Studio biografico
di Angelo De Gubernatis
Le Monnier Firenze
1879 pagine 296

   





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