Pagina (377/475)

   

pagina


Pagina_Precedente  Pagina_Successiva  Indice  Copertina 

      Si quelque chose peut retarder votre succès auprès du public, c'est cela; car à tout autre égard, votre ouvrage est fait pour réussir généralement. Mais parmi beaucoup d'autres signes de décadence, la superstition, qui prevaut en Angleterre, annonce la chûte de la philosophie et la perte du goût, et quoique personne ne soit plus capable de les faire revivre que vous, vous aurez probablement à votre début des combats à livrer.
      Je vois, ecc. ecc.
     
      DAVID HUME.
     
      Ivi.
      (14) Gibbonus adversarios cum in, tum extra patriamnactus est, quia propagationem religionis christianae, non,
      ut vulgo fieri solet, aut more theologorum, sed ut historicumet philosophum decet, exposuerat.
      (15) L'ouvrage de Burke est le remède le plus admirable contre la contagion française qui a fait trop de progrès, même dans cet heureux pays. J'admire son éloquence, j'approuve sa politique, j'adore sa chevalerie, et il n'y a pas jusqu'à sa superstition que je lui passe. L'église primitive, que j'ai traitée avec un peu de liberté, fût elle-même à sa naissance une innovation, et je tenais à la vieille machine du paganisme.
     
      Lettere di GIBBON,
      Traduzione francese.
      (16) Vedasi Dione Cassio 1. LIV p. 736 con le note di Reymar. Dal marmo di Ancira, sul quale Augusto aveva fatto scolpire le sue vittorie, si ricava che questo imperatore costrinse i Parti a render le insegne di Crasso.
      (17) Strabone 1. XVI pag. 780; Plinio Stor. Nat. 1. VI c. 32, 35, e Dione Cassio 1. LIII p. 723, e 1. LIV p. 734 ci hanno lasciato molte curiose particolarità intorno a queste guerre.


Pagina_Precedente  Pagina_Successiva  Indice  Copertina 

   

Storia della decadenza e rovina dell'Impero Romano
Volume Primo
di Edoardo Gibbon
pagine 475

   





Angleterre Gibbonus Burke Vedasi Dione Cassio Reymar Ancira Augusto Parti Crasso Strabone Plinio Stor Dione Cassio