NOTE:
     
      (1) Intorno alla parte che hanno avuto Priestley, Scheele e Lavoisier nella scoperta dell'ossigeno, si possono vedere specialmente i lavori: I. Guareschi, Lavoisier, sua vita e sue opere, Torino 1903; S. M. Jörgensen, Die Entdeckung des Sauerstoffes in Sammlung chem. und chem.-techn. Vorträge, t. XIV, 1909; Max Speter, Lavoisier und seine Vorläufer, Stuttgart 1910.
      (2) Les grands hommes, pag. 218. Paris 1912.
      (3) Che altri scrive Lokke, Look, Looke e Loock.
      (4) "Bientöt (scrive il Dumas) ses Mémoires, traduits en allemand et en français, portèrent, sa gloire au loin et firent vers la fin de sa vie l'admiration de l'Europe savante, tandis que dans sa patrie il n'en était pas beaucoup plus connu. On raconte même que le roi de Suède, dans un voyage hors de ses États, entendant sans cesse parler de Scheele comme d'un homme des plus éminents, fut peiné de n'avoir rien fait pour lui. Il crut nécessaire à sa propre gloire de donner une marque d'estime a un homme qui illustrait ainsi son pays, et il s'empressa de le faire inscrire sur la liste des chevaliers de ses ordres. Le ministre chargé de lui conférer ce titre, demeura stupéfait: "Scheele! Scheele! c'est singulier", dit-il. L'ordre était clair, positif, pressant, et Scheele fut fait chevalier. Mais, vous le devinez, ce ne fut pas Scheele, l'illustre chimiste, ce ne fut pas Scheele, l'honneur de la Suède; ce fut un autre Scheele qui fut l'objet de cette faveur inattendue.
      Voilà l'histoire de Scheele dans ses rapports avec la monde; mais s'agit-il des ses rapports avec la nature, c'est toute autre chose