Je suis sùr que parmi les chimistes qui pour le moment sont dans la fleur de leur àge, il n'y a aucun qui puisse être comparé à Wollaston en profondeur ei en justesse d'esprit aussi bien qu'en richesse de moyens, et tout cela est en lui combiné avec des manières douces et une modestie sincère. J'ai plus profité en une heure de conversation avec lui que souvent par la lecture de larges volumes imprimés. Il m'a communiqué des parties détachées d'une quantité de ses idées théoriques sur la chimie, lesquelles il m'a promis de rédiger un jour et de publier. Simplicité, clarté et la plus grande apparence de vérité sont toujours les compagnes des ses raisonnements
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      In una lettera a Marcet del 30 giugno 1813 Berzelius scriveva: "J'ai grand plaisir à entendre que le docteur Wollaston pense comme moi sur l'unité dans les proportions chimiques. Nous avons beaucoup causé là-dessus pendant que j'étais à Londre; il me concèda alors que l'oxygène, considéré d'un point de vue philosophique, devait être pris pour unité, mais tant lui que Young parurent croire que l'hydrogène présenterait des avantages arithmétiques que l'on ne trouverait point au même degré chez l'oxygène".
      Wollaston era contrario all'idea di Berzelius, che il cloro fosse un corpo composto.
     
      Berzelius e H. Davy. - Berzelius conosceva benissimo i lavori di Davy e li teneva in grande pregio. Verso il 1808-1810 i due chimici tenuti dal Berzelius in maggiore considerazione erano H. Davy e Gay-Lussac. Fece la personale conoscenza del Davy nel primo viaggio a Londra nel 1812. Il Berzelius s'accorse subito, come già scrissi, del carattere altezzoso del Davy(79).